Nom: Flannighan
Prénom: Ezekiel
Age: 17 ans
Nationnalité: Britannique
Sexe: Masculin
Race: Vampire
Apparence physique: Ses cheveux sont de longueur normals pour un gars et ceux-ci sont rouge profond avec quelques reflets noirs et blancs. Ses yeux sont gris avec quelques touches d'argentés selon l'angle dans lesquels ils sont placés par rapport à la personne qui lui parle ou qui le regarde. Il porte un complet blanc rayé noir qui est soigné. En-dessous, il porte une chemise noire et une cravate rouge à peu près comme ses cheveux, mais plus pâle avec une épingle argentée sur le noeud de la cravate. Des souliers cirés noirs chaussent ses pieds. Il a les ongles vernis de noirs et il a une chaînette argentée à son poignet gauche. Celle-ci a une très grande valeur sentimentale pour lui et il ne l'enlève jamais. Il est assez musclé même si ça ne se voit pas beaucoup et il a la peau pâle à cause du manque de soleil.
Caractère: Il est plutôt renfermé sur lui-même et il ne va pas souvent vers les autres. Si une personne vient lui parler, il va parler, mais sinon, il est assez distant. Il est souvent pensif et il a toujours l'air triste. Si on lui pose des questions sur lui, il va toujours s'arranger pour changer de sujet. Il ne porte pas trop attention aux autres et à se qu'ils pensent de lui ou d'autres choses. Il a du mal à s'adapter à se nouveau coin de pays. Il est peut-être peu bavard, mais si on l'insulte, il va réagir. En général, il n'aime pas donner son opinion ou même parler, mais il sait quand même se défendre. Il n'aime pas ce qu'il est et il se rabaisse la plupart du temps.
Manies: Il sort souvent une lettre de son veston pour la lire. Il joue après son bracelet quand il est nerveux et peut aller jusqu'à le briser, mais il s'arrête toujours avant. Quand il parle avec quelqu'un, il va souvent regarder autour en de petits regards furtifs. Il est souvent dans ses pensées quand il converse avec quelqu'un.
Gout & Interets: Il n'a pas vraiment d'intérêts, sauf peut-être la lecture et ses goûts pour n'importe quoi sont disparus à cause de ce qu'il a vécu.
Histoire: Je n'oublierai jamais ce jour où ma vie changea. Tout de même, j'écris cette lettre au cas où ma mémoire me ferait défaut à un moment où un autre de ma vie, ce qui risque d'arriver plus tôt que prévu. Bref, pour mieux comprendre cette lettre si je perdais la mémoire, comme depuis quelques temps, je vais y écrire l'histoire qui fait de moi la personne que je suis avant que je ne l'oublie totalement. Il est toujours important de se rappeler son vécu et, malheureusement pour moi, j'ai la mémoire fragile depuis ce fameux jour.
Je me nomme Ezekiel Flannighan, je suis né le 18 octobre en Angleterre(ou Royaume-Uni). Je suis maintenant âgé de 17 ans, j'ai quatre frères et j'avais une soeur. Eamon est l'aîné, il a 23 ans et demi. Il y a Nicke qui a 22 ans, Skyler, 19 ans et Nikolai, 16 ans. Ma petite soeur de 12 ans s'appelait Eyrika.Les noms de mes parenst font partis de la section oubli de mon cerveau. Je me souviens vaguement d'un ou deux visages souriants, mais sans plus. Mes souvenirs commencent vraiment le jour de mes 7 ans.
Nous étions, mes frères, ma soeur et moi, au manoir de nos grands-parents, Roger et Elisabeth, pour l'enterrement de nos parents. Je me souviens du regard que grand-père Roger nous lançait à la cérémonie. Je ne l'aimait pas dutout et il nous le rendait bien, mais, heureusement, grand-mère Elisabeth était toujours avec nous et elle nous protégeait de son fourbe de mari. Elle ne semblait pas lui faire plus confiance que nous. Bref, après la mise en terre des deux corps, Elisabeth nous a ramenés à l'intérieur et nous a annoncé que nous partirions pour les États-Unis et qu'ils allaient tous nous séparer. Eamon, qui tenai Eyrika dans ses bras, a violemment protesté. Il ne voulait pas nous laisser à nous-même dans une nouvelle famille, surtout pas Eyrika alors âgée de 2 ans. Elisabeth a alors décidé qu'Eyrika resterait avec moi, ce qu'Eamon n'a pas accepté, mais qrand-mère ne voulait rien entendre. Nous sommes donc tous partis en train le lendemain matin. Eamon prenait énormément soin de nous et je l'ai même surpris à pleurer pendant le trajet... Quand nous sommes arrivés en Espagne, nous avons cangé de transport au profit d'un navire. Le bateau est partit en direction des états-Unis dans les heures suivant notre arrivée à bord. Le voyage a duré environ une à deux semaines. Le navire a accosté sur la côte du pays et c'est sur le quai que nous avons été séparés, mais, comme promis, Eyrika resta avec moi. Nous fûmes conduits jusqu'à un certain pays dont le nom m'échappe et lnotre nouvelle maison se situait en plein coeur d'une gigantesque forêt. Je me souviens à peine des visages de ces nouveaux parents, mon regard ne croisait jamais le leur, car je n'avais pas le droit de les regarder en face. Par contre, je me souviens qu'ils ne nous aimaient pas du tout et que l'homme battait et violait sa femme. J'entend encore ses cris dans ma tête. Contrairement à ce que je pensais, il n'a pas fini par la tuer... c'est elle qui l'a tué. Puis,elle s'est retourné contre moi en disant que je m'en prenais à ma petite soeur, ce qui, évidemment, était faux. Pendant près de 5 ans, elle m'a battu avec des bâtons de toutes sortes, avec ou sans clous, avec ou sans barbelés. À chaque fois, Eyrika criait et pleurait et. à chaque fois, je me mettais entre elle et la femme pour la protéger.
Maintenant à l'âge de 12 ans, j'encaissais les coups sans rechigner et Eyrika était assez vielle pour comprendre qu'elle ne devait ni crier ni pleurer pour éviter que la femme ne la batte à son tour. Il y a eu un jour où elle me donnait des coups de bâtons enroulé de fils barbelés devant une Eyrika totalement impassible. Chaque coup m'arrachait des lambeaux de peau et un léger gémissement de douleur. Je ne quittais pas ma soeur des yeux et je savais que mon regard était emplit de tristesse et qu'il le resterait pour toujours. Le soir de cette même journée, moi et Eyrika étions dans ma chambre et j'essayais de la convaincre de s'enfuir, mais elle ne voulait pas me laisser tout seul avec la folle. Je lui assurai que j'irais la rejoindre d'ici quelques jours. Elle finit par accepter et elle sortit par la fenêtre, amenant son sac. Quand elle le découvrit, la femme me prit par le bras et me projeta contre le mur de toutes ses forces. Je me cassai un bras à cause de son angle au moment de l'impact. Elle me battit plus fort et plus longtemps qu'à l'habitude et, cette fois, je ne m'empêchai pas de hurler toute ma douleur. Deux semaines plus tard, je pus enfin m'enfuir de cette maison en y laissant mes choses. Je couru à travers les arbres à toute vitesse dans la direction qu'Eyrika avait prise. Elle avait laissé des bouts de tissus sur les branches des arbres, m'indiquant ainsi le chemin à suivre. Je ne l'ai jamais retrouvée. Je vécu trois ans dans la forêt comme un animal. Ce fut une étape difficile de ma courte vie.
Ce n'est qu'à 15 ans que je retrouvai le sac qu'Eyrika avait emporté avec elle il y a maintenant trois ans. Je le pris et me mis à chercher dans les alentours. Elle ne pouvait pas être bien loin, car son sac était totalement vide et mon instint me disait qu'elle n'était pas loin de là. Malheureusement, je n'y voyais rien puisque c'était la nuit et que la lune n'était pas au rendez-vous. Je commençai à crier son nom tout en courant et en cherchant. Au loin, j'aperçus une forme sombre au sol et je me dirigeai sans hésitation vers celle-ci. Lorsque j'arrivai près de la forme, je me rendis compte que c'était un piège, car ce n'était pas vraiment un corps. Mais je me souviens que ce n'était pas une fillette de 10 ans qui reposait sur le sol devant moi. Je regardai autour, car les branches s'étaient mises à bouger et à craquer. Je vis plusieurs silhouettes qui m'entouraient. Une seule s'approcha de moi et je retins mon souffle en voyant ma petite soeur. La joie te le soulagement me submergèrent, mais cela ne dura pas longtemps. Il y avait quelque chose qui clochait dans son atittude. Elle me souriait de façon malicieuse et je n'aimais pas ça du tout. Je reculai, mais heurtai un corps musclé de mon dos. Des bras m'entourèrent et me tinrent en place tandis qu'Eyrika avançait. Elle s'arêta à un mètre de moi sans que je comprenne pourquoi. Elle n'était pas normale et cela se voyait très bien. Soudain, je sentis qu'on penchait ma tête sur le côté et une douleur atroce lorsque deux canines déchirèrent la peau de mon cou. Je sentis que le sang se vidait de moi quand la personne se mit à aspirer. Je criai de douleur et je ne me souviens de rien. À mon réveil, je savais deux choses. La première, c'est qu'il faisait nuit et la deuxième, c'est que j'avais atrocement faim. J'ouvris les yeux et remarquai que les gens qui m'entouraient étaient les même que lorsque j'ai perdu connaissance. Je me redressais et vis ma soeur près de moi. Elle me regardais toujours étrangement, mais elle ne souriait plus. Je me sentis attiré par son odeur. Elle était bien vivante et son sang avait une odeur exquise.
Son sang? Je m'approchai et, à la vitesse de l'éclair, lui mordis sauvagement le cou. Je bus son sang à grande gorgée et je me régalai de ses gémissements de douleur. Je voulais plus de son sang, alors je bus jusqu'à ce que je ne sois plus capable d'en avoir. Je tenais un corps mou et sans vie dans mes bras. Je relevai la tête et réalisai que je venais d'assassiner Eyrika. Ce simple constat suffit à me faire reprendre mes esprits. Je me levai et reculai, horrifié. Quel monstre étais-je devenus?
Un vampire. Je ne voulais pas le croire.
Assassin. Non! Je m'enfuis en courant entre les arbres. Je sortis de la forêt et courus jusqu'à la ville la plus près. Elle était peu éclairée et il y avait plusieurs ruelles. Je m'arrêtai dans la ruelle la plus sombre que j'ai pu trouver. Je me laissai choir au sol en tremblant et en pleurant. Je trouvai un morceau de fer et le plantai dans ma poitrine, mais je manquai le coeur. Je
voulais mourir. Je n'était pas capable de continuer ma vie. Je me plantai plusieurs fois le morceau dans la poitrine, mais je manquais toujours le coeur. Je finis par abandonner et allai me cacher dans une maison qui n'avait plus d'occupants. Je me sentais plus vieux que mes 15 ans. C'est comme si j'en avais 17, à la place. Je voulu vérifier dans le miroir..., mais je n'avais plus de reflet.
2 ans plus tard, toujours âgé de 17 ans, je faisais partie du décor de la ville. Personne ne m'embêtait et je n'embêtais personne. C'est le matin du 18 octobre de mes 17 ans que quatre hommes tous vêtus de la même façon entrèrent dans la ville où je me trouvais. Ils cherchaient un certain Ezekiel Flannighan. Je fus surpris, car c'était moi. Ils
me cherchaient. Mais pourquoi?
Pourquoi? Je sortis de ma cachette et allai à leur rencontre. Arrivé à leur hauteur, je leur dis que j'étais la personne qu'ils voulaient voir. Ils se jetèrent un coup d'oeil et celui qui était le plus vieux me prit dans ses bras pour me serrer fortement contre lui. Je ne bougeai pas et regardai les trois autres avec interrogation. Qui étaient-ils? Celui qui me serrait, recula et me regarda. -Ezekiel, je suis Eamon.
Je les regardai. je me trouvais face à mes quatre frères! Comme ils avaient changé en 10 ans! Je les regardai tour à tour sans rien dire.
-Où est Eyrika?
Quand Eamon posa cette simple question, des larmes rosâtres, se mirent à couler sur mes joues et je leur racontai tout en détail. Je m'en souvenais très bien à ce moment, car j'vais fini d'écrire ma lettre, sauf qu'après leur arrivée, j'ai décidé d'en écrire plus. Ils me donnèrent le même habit qu'eux et nous partîmes pour le Québec, au Canada.
J'espère que tu te souviens que c'est
ton histoire, maintenant, Ezekiel.
Tu es l'acteur principal de cette lettre.
Ezekiel Flannighan
Pouvoirs et armes: Il a une épée dont il se serre pas très souvent. Il contrôle l'obscurité.
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Simplement la personne que vous êtesNom/Surnom: Joanie/Joe
Age: 17 ansDepuis combien de temps, tu fais des Rp?: Presque 5 ans!
Disponibilité: 3 fois par semaine
Commentaire: J'ai un bon pressentiment pour ce site!^^
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